Un petit air d’Eisenstein…

Chroniques des incommensurables riens (2)

A Och, errer des heures dans le bazar et la fête foraine permanente et regarder les gens comme s’ils sortaient d’un film d’Eisenstein.

Observer les joueurs d’échecs en pensant à Stefan Zweig et se demander lequel des deux joueurs qui s’affrontent devant moi est monsieur B., lequel est Mirko Czentovic; et puis se dire que le monde n’est sans doute pas aussi manichéen…

Peser ce qu’il y a encore de délicatement soviétique dans le spectacle des manèges colorés et des gens qui passent. En extraire le rouge. Par dérision (?)

9 réflexions sur « Un petit air d’Eisenstein… »

  1. « emmenez moi au bout de la terre
    Emmenez moi au pays des merveilles »
    C’est un peu ce qui se passe chaque fois que je découvre une nouvelle page de votre voyage. Est ce la beauté du monde ou de votre regard qui le révèle,?
    Merci pour ces merveilles que vous nous partagez
    Amitiés du bout des cevennes

    1. Bonjour Jacques!
      Merci!
      Le monde est beau, je crois. Il suffit d’ouvrir grand les yeux. Il y a du laid aussi, et malheureusement cette laideur est souvent le fait des hommes. Nous en parlerons aussi, de cette laideur…
      Amitiés!
      Alain & Célia

    1. On y va! Départ tout à l’heure à 14 heures depuis Och…
      2 randos prévues. On va voir si on peut aller jusqu’au camp de base du Lénine…
      Bises!

    1. Bonjour Catherine!
      C’est un peu ça. Le Kirghizistan est une terre de contrastes incroyablement variée. Et notre regard aussi change de jour en jour…
      A bientôt!

  2. je dis juste superbe comme vous avez eu raison d’oser cette aventure !! et encore merci pour ce partage
    pleins de bisous de st clément
    nini

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